vendredi 17 octobre 2008,
Point Ephemere, 20.30, 12€
GRANDEUR ET DÉCADENCE
L’horizon serait-il monstrueusement désenchanté ? Généreuse et impitoyable, La Chatte hante les nuits portée par les chants d’amour malades de Vava Dudu, sorte de succube urbain qui se déchaîne sous la lumière en protubérants costumes-lambeaux. Prêtresse du néant, La Chatte mène sa revue rétro futuriste avec Stéphane Argillet et Nikolu pour une mise à mort incisive de compositions électroniques minimales dans les cris stridents et les percussions métalliques.
>>> La Chatte, à Metz le 8 novembre, au festival Musiques Volantes